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Récupération de l’huile usagée

récupération de l'huile usagée

Le développement économique de l’humanité est comparable à une sinusoïde. Avec du temps la montée alterne avec la récession et vice versa. Le plus vulnérable est le marché pétrolier. La multitude de pays n’ayant pas ses propres ressources combustibles, sont en grande dépendance des pics de prix sur «l’or noir». La part considérable des produits pétroliers est représentée par les huiles: de moteur, de transformateur, industrielle, de turbine, de transmission etc. Et aujourd’hui il y a une quantité suffisante des moyens de la récupération de l’huile usagée.

Après avoir effectué les plus simples calculs mathématiques on peut voir que la consommation mondiale des huiles moteur fait près de 60 millions t. du combustible conventionnel. Par exemple, sur le territoire de la Fédération de Russie on recueille approximativement 1,7 millions t. des huiles usagées de différents aspects. En même temps qu’on ne traite que environ 0,25 millions t., ce qui fait seulement 3,3 % du volume total de consommation. Est-ce que les chiffres sus-mentionnés prouvent que la récupération de l’huile usagée est injustifiée ?

Certes, non. Réfléchissez vous-mêmes: 100 t du pétrole nous donne en moyenne jusqu’à 10 t d’huile moteur. Mais si l’on prend les mêmes 100 t du rebut pour les traiter d’une manière appropriée, on aura réellement dans les stocks 80 t du produit déjà prêt à l’utilisation ultérieure.

L’usage des huiles à leur destination directe est toujours accompagnée de l’oxydation. Finalement dans les produits pétroliers s’accumulent les sous-produits: les dépôts vernis, les résidus, les composés asphaltènes et résineux etc. Sans hésitation les concepteurs ont inventé la solution: garder les produits de l’oxydation en suspension. Pour obtenir cet effet on rajoute dans les huiles les additifs détergent/dispersant.

Il ne faut pas oublier que pratiquement tous les types d’huiles pétrolier sont les déchets très dangereux, polluant l’environnement. Il est absolument interdit de verser l’huile usagée sur le sol, aux conduites de canalisation ou aux bennes à ordures. Une fois dans l’environnement, l’huile se décompose assez longtemps, puisque elle est une substance non soluble et chimiquement stable. La situation peut également s’aggraver par la propagation très rapide du produit pétrolier usagé de l’emplacement de vidange. Grâce à sa viscosité, l’huile peut se coller pratiquement à tous, à partir du sable, jusqu’à les plumes des oiseaux migrateurs.

La pertinence du problème de récupération de l’huile usagée vous confirmeront les employeurs de n’importe quelle entreprise de transport. L’absence du financement considérable ne contribue pas à la collecte, la conservation, l’acheminement et le traitement d’huile usagée et des lubrifiants. Malgré tous les risques possibles, une partie des produits de vidange est brûlée, mais la grande partie est versée aux bassins, à la canalisation ou sur le sol. Avec le minimum des ressources financières libres il faut trouver les nouvelles décisions à résoudre le problème; ces décisions doivent se distinguer d’une haute efficacité technique et économique et du délai court quant à la compensation des investissements. La solution est évidente – la récupération d’huile usagée avec la possibilité de son utilisation ultérieure.

Au fait, qu’est-ce ça veut dire le terme «la récupération de l’huile usagée» ? Le premier signe d’un tel produit est la présence de couleur et d’odeur inhérente à l’huile fraîche. En outre, à la suite de la récupération du produit usagé on supprime acides, divers dépôts et résidus, particules mécaniques, gaz, condensat aqueux et d’autres substances aggravant les performances d’utilisation dûs à la détérioration de la composition physicochimique.

ON PEUT RÉCUPÉRER L’HUILE USAGÉE!

Chaque schéma de la récupération permet d’obtenir quelques fractions des huiles de base, de lesquelles on fabrique ensuite les produits commerciaux. Par exemple, à la base des fractions récupérées d’huile moteur on produit avec succès les liquides de coupe, les graisses plastiques, les huiles de transmission et hydrauliques.

Récupération de l’huile usagée – les méthodes principales

Il y a aujourd’hui une quantité suffisante des moyens de la récupération de l’huile usagée. Chacun d’eux a ses avantages et ses insuffisances. Les schémas standard de la régénération prévoient le traitement en plusieurs étapes. D’abord on supprime mécaniquement l’eau libre et les impuretés solides et puis on procède à l’évaporation. Si nécessaire (le degré d’épuration insuffisant après les premières étapes) on procède au traitement physicochimique.

C’est absolument parfaite récupération d’huile usagée quand on obtient à la sortie un produit qui dépasse par ses caractéristiques cette huile qu’on a commencé à traiter. En pratique ce but est réalisable, mais pour l’atteindre on doit utiliser les méthodes chimiques à l’équipement compliqué et aux grandes dépenses financières. C’est pourquoi il faut trouver une solution optimale en matière du prix et de la suffisance du réserve des performances fonctionnelles.

Les méthodes physicochimiques de purification et de récupération de l’huile usagée comprennent la purification par échange d’ions, la coagulation, la dissolution sélective des polluants et l’adsorption.

L’essentiel du processus de coagulation consiste en agrandissement artificiel des particules de pollution, qui se trouvent dans l’huile. Un tel effet peut être atteint si on rajoute dans l’huile les substances spéciales – les coagulateurs. Les particularités de ce procédé sont définies par la quantité de coagulant introduit, la durée de son contact avec l’huile, la température de l’environnement, ainsi que l’efficacité du malaxage. L’agrandissement des particules de pollution mécanique dure d’habitude de 20 à 30 minutes. Après cela on peut passer à l’étape suivante – la décantation, la purification centrifuge ou la filtration.

La purification à adsorption est faite en utilisant les substances spéciales – les adsorbants. Ils retiennent les polluants sur la surface extérieure des granules, ainsi que sur la surface intérieure des capillaires, qui pénètrent les granules. À titre d’adsorbants on peut utiliser les substances d’origine naturelle ou artificielle. Aux premiers se rapportent les terres décolorantes, les zéolithes et les bauxites. Aux seconds – oxyde d’aluminium, zéolithes synthétiques, gel de silice et composés aluminosilicates.

La purification à adsorption se divise en quelques aspects. Au cours de la méthode à contact on fait mélangent l’huile avec l’adsorbant affiné. Au cours de la méthode à percolation l’huile est passée à travers l’adsorbant. La méthode à contre-courant fait créer les conditions auxquelles l’huile et adsorbant sont en mouvement l’un au-devant l’autre.

La méthode à contact demande l’usage de grande quantité d’adsorbant, qui peut polluer l’environnement, donc le recyclage est nécessaire.

La méthode à percolation prévoit l’utilisation du coûteux gel à silice à titre d’adsorbant. C’est pourquoi la purification dans la couche mobile d’adsorbant est considéré comme la plus judicieuse. Dans ce cas le processus se passe continuellement, on n’a pas besoin de remplacement, de régénération ou de filtration périodique d’adsorbant.

Méthodes chimiques

La purification à échange d’ions se réalise grâce à la capacité des ionites (résines échangeuses d’ions) à retenir les polluants, qui, étant en phase soluble, sont capables à se dissocier en ions. Par leur structure les ionites sont eux-mêmes les gels solides, formés par la polymérisation et polycondensation des matières organiques. Ils ne se dissolvent pas dans l’eau et dans les carbones.

On peut réaliser le procès de purification par la méthode à contact aussi bien que par la méthode à percolation. Dans le premier cas l’huile usagée se mélange avec les grains ionite, de la taille de 0,3 … 2 mm.  Dans le deuxième – l’huile est chassée à travers la colonne spéciale, qui est rempli d’ionite. L’échange d’ions se produit. Les ions des polluants remplacent les ions d’ionite dans le réseau spatial. Pour restaurer les propriétés initiales des ionites, on les lave par le dissolvant, après ils sont séchés et activés par la solution 5% de la soude caustique. L’avantage de purification à échange d’ions est qu’elle aide à supprimer dans l’huile les polluants acides. Le désavantage – l’impossibilité du délai des substances résineuses.

À la purification sélective d’huile usagée on dilue sélectivement.certaines substances: composés oxygénés, sulfureux et nitriques. À titre des dissolvants on prend nitrobenzène, acétone, furfurol, divers alcools, phénol et son mélange avec crésol, cétone méthyle éthylique et d’autres liquides. Les installations de purification sélective représentent d’après leur structure les appareils de genre «mélangeur-décanteur» avec les vaporisateurs supplémentaires pour la séparation du dissolvant.

Une des variétés de purification sélective est le traitement d’huile à propane. Ce traitement permet la dissolution de hydrocarbones d’huile et la stimulation du dépôt des substances asphaltènes, qui se trouvent dans l’ huile et demeurent en état colloïdal.

Récupération de l’huile usagéedite «en marche»

Un des moyens à réaliser la récupération de l’huile usagée « en marche» est l’amenée du régénérateur tribochimique (SТC) au système lubrifiant de moteur à combustion interne. Le STC est composé d’agents alcalins et d’iode cristallin. La principale idée de l’utilisation de régénérateurs tribochimiques consiste en soi-disant «effet antiusure» de surfaces en frottement. En même temps les propriétés physicochimiques et les paramètres d’huile lubrifiante doivent se rétablir et se stabiliser. Un tel résultat est obtenu grâce à la création du système d’autorégulation (moteur-huile en circulation).

RÉCUPÉRATION D’HUILE DE TRANSFORMATEUR DANS LE TRANSFORMATEUR EN MARCHE

À l’interaction de l’huile en circulation avec le régénérateur cette huile fait restaurer ses paramètres, en devenant porteur des modificateurs de la friction. Ces derniers stimulent la formation d’une couche antifriction, anticorrosion et antiusure sur les surfaces de couple en friction, ainsi que sur les surfaces intérieures des pièces et des mécanismes.

On peut régler les paramètres de récupération des huiles moteur, en changeant la durée de leur contact avec les agents et (ou) la température dans le lieu immédiat de l’interaction.

Les substances tribochimiques peuvent être utilisées aux moteurs à essence et diesel, machines-outils et d’autres mécanismes à circuit de lubrification par circulation.

L’apparition de SТC a fait possible l’utilisation d’huile en deuxième choix, et d’assurer le travail stable de moteur dans les conditions de privation d’huile.

On examine actuellement la possibilité d’application des régénérateurs tribochimiques au cours de la régénération d’huiles lubrifiantes à l’aide des installations spéciales en vue d’augmentation du teneur en alcali et de la formation des additifs détergent-dispersant.

Équipement de la récupération de l’huile usagée

Les installations СММ-R assurent les paramètres excellents lors de purification d’huile transformateur. En tant que sorbant ces installations utilisent la terre à foulon (terre décolorante). Le  recours à cet équipement permet de restaurer la résistance diélectrique et la composition chimique d’huile isolante et prolonger la durée de service des transformateurs. Par le traitement d’huile on fait liquider les produits de décomposition, les composants acides; l’huile devient claire, sa stabilité antioxydante augmente et le pouvoir d’oxydation des gaz baisse. L’avantage essentiel des unités mobiles de régénération d’huile CMM-P de marque déposée GlobeCore est la possibilité d’effectuer la régénération d’huile isolante directement dans un transformateur alimenté, aussi bien dans celui en repos. Le sorbant terre à foulon possède la capacité de multiples récupérations de ses propriétés ce qui permet de traiter l’huile sans arrêt pendant une période prolongée.

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